C'est la nuit, il fait noir et les seules lumières sont celles des torches en feu qui dégagent une chaleur torride. Je suis a genoux dans ce sous bois, pieds et poings liés, nu. A cette chaleur suffocante s'ajoute une musique de Tam-tam africains abrutissante. Autours de moi, en cercle, une vingtaine d'hommes noirs agitent frénétiquement leurs sexes tendus avec leurs mains. Les corps en sueur luisent sous la lumière des torches. Les sexes sont d'un noir luisant, énormes, d'où pendent des génitoires pleins de désirs. Ca rigole et ça boit tout en se masturbant au dessus de moi. Soudain, une première grosse giclée s'étale sur mon front, suivit d'un râle et de giclées plus liquides.  Un second ne tarde pas à jouir tout son jus, puis un troisième... Lorsqu'au bout d'une demi heure le dernier s'est épanché sur moi, mon visage dégouline de semence, les premières giclées ont collé mais d'autres s'écoulent encore le long de mes joues et sur ma bouche. Je n'ose me lécher les lèvres de peur du Sida. Je n'ai pas dis un seul mot. Les hommes reviennent vers moi. Les sexes sont redevenus mous. Tous dirigent leurs gros tubes vers moi et m'arrose d'urine en guise de nettoyage. La boisson aidant, de longs jets chauds et dorés me rince le visage. On me détache et me redonne mes vêtements. Je quitte ce petit bois ou j'avais rendez-vous. Sur le chemin du retour la musique africaine et les giclées me hantent. Je prends une douche en rentrant chez moi, je me masturbe plusieurs fois sous la douche avant que l'excitation de cette expérience retombe.

Je me couche auprès de ma compagne qui me demande si le travail n'a pas été trop dur cette nuit....

Bisous

Alain