• J'espère que ma compagne me léchera de la sorte ce week-end... J'adore lorsqu'elle le fait. Bisous a tous et toutes Alain

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  • Cette nuit, j'ai rêvé d'un mec, J'étais allongé, nu, sur le ventre, avec une serviette sur mes fesses. Un beau mec est entré dans la pièce, avec une serviette nouée autour de la taille. Son torse était musclé et bronzé. Il a pris une bouteille et à versé de l'huile sur mon dos, puis à posé ses mains sur mon dos et à commencé à me masser. J'étais détendu et bien. Ses mains courraient sur mon corps et j'aimais le contact. Mes jambes ont été massées de la même manière, avec fermeté et douceur, avec savoir et expèrience. Au bout d'un moment, il a retiré la serviette qui cachait mes fesses. Il les a malaxés, les à rapprocher ou écarter, s'est insinué mais pas trop, dans la raie serrée. A ses mouvements, j'ai compris qu'il souhaitait masser mon torse. Je me suis retourné, J'avais les yeux fermés, a l'écoute de ses caresses et de ses mains. Il a longuement massé mon torse et mes jambes, jouant de mes tétons par moment. Puis il est redescendu, s'est arrété sur mon sexe, la massé également. La technique étant particulièrement efficace, ma queue ne tarda pas a devenir dure. Il écarta légèrement mes jambes, les releva afin d'accéder à mes fesses, et glissa sa mains entre pour aller caresser mes couilles et mon anus. Ses mains d'homme étaient bien différentes de celles de ma femme, mais les caresses qu'elles me prodiguaient étaient d'une agréable virilité. Il commenca sur moi une fellation. J'ai compris pourquoi l'on dit que les gays sucent mieux que les femmes...Il était divin. En même temps, ses doigts huilés glissèrent dans mon petit trou, il commença à me travailler l'anus avec douceur mais insistance. J'ai ouvert plus grand mes fesses afin qu'il aille plus profond. Il a fini par me glisser sur le bord de la table, les fesses dans le vide et les jambes relevées sur le ventre. Il a pris quelques chose sur la table, j'ai entendu l"ouverture de l'emballage. Il était en train d'enfiller un préservatif. J'ai senti le contact de son sexe sur mon anus. La poussée, douce et progressive, de plus en plus insistante. Mon anus résistait, souvrait légèrement, J'ai poussé un peu, comme pour aller à la selle pour l'ouvrir plus grand. Il a profité de l'instant pour forcer le passage. J'avais l'impression qu'il se déchirait. Je me sentais envahi totalement. Je sentais son sexe en moi, aller et venir, mes couilles sursautaient à chaque coup de butoir. Il m'a longuement et divinement enculé. Plus il entrait, et plus j'avais envie qu'il aille profond en moi. Je branlais ma queue en même temps qu'il me sodomisait, Lorsque je l'ai entendu râler, j'ai compris qu'il jouissais, j'ai jouis dans la foulée, mon anus se contractait au rythme de mes giclées. Il m'a fais jouir. Je mee suis réveillé. J'avais une érection enorme, ma femme dormait à mes cotés. Je suis sorti doucement de la chambre, j' suis allé aux toilettes, j'ai baissé mon slip, j'avais envie d'une queue. J'ai pris la brosse à cheveux de ma femme, elle à un beau manche lisse, je me suis mis à 4 pattes et je me suis enculé avec après l'avoir abondamment sucé pour mouiller le manche. J'ai vite eclaboussé le sol d'une dizaine de giclées. Après avoir lavé et rangé le matèriel, je me suis recouché doucement, je me suis rendormi sans retrouver pour autant mon amant d'une nuit fantasmique. Bisous a tous et toutes Alain

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  • Dans les années 80, l'une de mes amie passait régulièrement me voir en sortant son chien. J'habitais au rez de chaussée et elle, chez sa mère, au 4ème étage. Nous avions un temps été amant, mais la proximité des deux appartement ne nous laissait pas assez d’autonomie (surtout pour moi), et on avait vite rompu. Nous étions quand même resté amis. Un jour, elle à eu la mauvaise idée de se casser la jambe. Difficile dans ces conditions de sortir le chien plusieurs fois par jour. J’avais donc accepté de sortir le chien à 16H et à 22 heures, sa mère le sortait avant d’aller au travail, à 8H. C’était une de ces races de chien assez haute sur pattes, genre chien de chasse, croisé avec un épagneul. Chaque fois que le chien venait, il s’en prenait toujours à l’une de mes jambes, ou à celle d’un pote. Toujours le même mouvement du chien obsédé. Elle avait trouvé ce chien abandonné, et je me suis toujours demandé si son ancien maître n’avait pas initié son chien aux relations zoophiles. Enfin, bref, me voici donc tout les jours, propriétaire par intérim, d’un chien un peu obsédé. Mois même étant assez en manque, il a fallu assez peu de temps pour que chacun y trouve son compte. Un jour, après ma douche, je file dans ma chambre avec une serviette nouée autour de la taille, et je commence à me masturber sur mon lit, tranquillement, sans m’occuper du reste. Le chien arrive et pose sa tête au bord du lit. J’approche du bord en pivotant sur le coté, approchant mon corps par la même occasion, de la gueule du chien. Voici que le chien sort se grande langue de chien de chasse et me lécher le sexe. Je laisse faire. Il arrête au bout d’une minute. Je lui caresse le dessus de la tête, lui dit qu’il ait un bon chien, le chien reprend sa léchouille érotique. Au bout d’un moment, les sensations de cette belle langue bien longue (jamais une femme ou un homme ne pourra avoir une langue aussi enveloppante), me fond partir en longues giclées blanchâtres et épaisses, que le gentil chien s’empresse de lécher sur mon ventre. Je suis sur que le chien avait déjà fait ça. J’ai largement regretté que mon amie retire son plâtre au bout de 3 semaines… Le bon toutou ma léché deux fois par jour pendant plus de deux semaines, d’une manière bien meilleure que ce que sa propriétaire était capable de faire, avec un dévouement et une obéissance totale, sans avoir à payer un restaurant ou un bijoux en échange. Le chien, c’est vraiment le meilleur ami de l’homme… Bisous à tous et toutes (petites caresses à vos chiens ;-) Alain

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    C'était à la fin des années 80, j'avais une amie provinciale qui était venue vivre un temps avec moi. Une rousse comme je les aime, au teint clair et à la toison de feu.

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    Nous étions allés passer un Week-end en Picardie et pris une chambre d'hôtel près d'Amiens.

     

    L'hôtel et le dépaysement qui va avec, ça m'a toujours beaucoup excité.

     

    nous sommes montés dans la chambre après une journée de balade. j'ai pris ma douche, elle la siennes, puis on a commencé à s'embrasser et à ce caresser. Je l'ai fait se pencher sur la petite table qui agrémentait la chambre, je me suis mis à 4 pattes derrière elle, et je lui ai longuement léché la raie des fesses. J'ai écarté les deux globes pour saisir son petit trou fripé avec ma langue. Le petit goût acre de son anus ma excité au plus haut point. J’ai allègrement mouillé de ma salive ce bonbon plein de promesse. Ses soupirs en disaient long sur ce qu’elle ressentait. Elle plaçait ses jambes et bombait son cul au mieux pour que je léche toujours lus profond.

     

    N’y tenant plus, au bout d’un moment, je me suis relevé, je suis resté placé derrière elle et j’ai fais glisser mon sexe entre ses jambes. Sa chatte était trempée. Je suis entré dans son sexe baveux, et j’ai commencé âr entrer et sortir. J’ai placé mon pouce sur son anus encore mouillé de salive et ouvert par la caresse, et d’une légère pression, j’ai fais entrer celui-ci dans l’anneau. Elle a semblé adorer.


    Je suis ressorti de la douce muqueuse vaginale, j’ai placé mon gland à l’entré de son petit trou du cul. Je l’ai entendu dire « non, pas comme ça… » j’ai fais couler une grosses dose de salive sur l’entrée du trou, et j’ai commencé par une douce pression. Le gland s’est tordu. Je l’ai aidé à entrer en appuyant dessus avec mon pouce. Elle a poussé un petit cri, puis j’ai repris ma pression, entrant d’abord quatre centimètres, en ressortant deux, en réentrants trois… Visiblement, la douleur était plus forte que le plaisir pour mon amie, mais sa douleur m’excitait. C’est la première fois que je voyais ma queue entrer et sortir ainsi d’un cul. Bientôt, c’est dix neuf centimètres qui entraient et sortaient, son anus semblait écarter au maximum, ma progression d’abord lente avait fait place à des coups de butoir sans retenu. Elle criait et se mordait la main, mais sa plainte m’excitait encore plus, et l’idée que cette plainte était entendue dans d’autres chambres me rendait fou d’excitation. J’ai jouis en elle.

     

    Ensuite, nous nous sommes allongés, nous nous sommes embrassés à nouveau, caressés. Elle à sucé mon sexe comme pour le laver, ce qui m’a vraiment fait à nouveau bander, et là, je l’ai baisée d’une manière plus « normale », lui donnant un plaisir certain.

     

    Je n’ai pas souvent enculé de femme dans ma vie, mais, ça a toujours été quelque chose d’agréable. Je suis sur que j’aimerai le faire à un homme, voir ses bourses tressauter à chaque coup de butoir, voilà une vision qui me déplairait pas.

     

    Bisous à tous et toutes

     Alain

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  • Je vous laisse en bonne compagnie. J'ai une envie terrible de le décalotter ce mec...trop mignon ce sexe Passez toutes et tous un bon week end A° Alain

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