J'avais juste 18 ans et mes parents étaient partis deux semaines avant moi en vacances. Je venais de finir mon travail d'étudiant et je devais les rejoindre à Millau. J'avais pris un gros sac à dos et pour économiser le train, j'avais décidé de faire du stop.

Dans un premier temps, un copain m'avait approché jusqu'à Orléans, puis je devais continuer en stop alors que lui partait vers l'ouest.

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J'ai patienté une bonne heure avant qu'un camionneur s'arrête pour me prendre. Le gars avait l'air sympa et descendait à Bézier. Sous les conseils experts du chauffeur, je découvris que du haut de la cabine, il avait la vue imprenable sur quantité de cuisses.  Ces dames se laissent souvent aller dans l'intimité de leur voiture. Jupes relevées, cuisses chauffées au soleil, elles exhibent sans le savoir le satin de leurs cuisses, la blancheur d'une culotte, parfois, si elles en sont dépourvues, les boucles brunes, rousses ou blondes d'un minou attirant.

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La conversation a très vite tourné sur le sujet du sexe et sur les expériences de mon chauffeur. Ils avaient souvent droit à une petite récompense d'autostoppeuses reconnaissantes. Ses descriptions étaient très excitantes. Mes expériences à moi étaient proches du néant. Ses récits me troublaient.

Trois heures après être partis d'Orléans, il arrêta son camion sur une aire de repos.

« Je suis au temps maximum de conduite, je suis obligé de m'immobiliser pour trois heures » me dit-il.

Je n'y connaissais de toute façon rien sur la législation des chauffeurs routiers. Il me fit découvrir la cabine à l'arrière. Tapisserie Newlook tout autour de la cabine. Des sexes de femmes de toutes les couleurs, de tous poils, et parfois même sans poil.

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Le chauffeur s'allongea sur la banquette de la cabine et sorti des photos de quelques unes de ces conquêtes routières, stoppeuses d'un jour.

« Vient mâter ça gamin ! »

C'était de polaroïds, les filles posaient nues, parfois elles avaient accepté des photos beaucoup plus osées, se caressant, suçant un sexe tendu que j'imaginais être celui de mon chauffeur, parfois encore, se faisant baiser, le tout avec une satisfaction non feinte.

J'étais rouge d'excitation en regardant les clichés.

« N'ai pas peur, assis toi là, j'en ai d'autre à te montrer »

J'obéissais.

Il retira son pantalon.

« Fait comme moi gamin, mets toi à l'aise, j'arrive jamais à bien dormir sans une petite branlette moi »

J'étais gêné, mais excité.

Il sortie un autre tas de photos et me le donna pour que je les regarde.  Des jeunettes suçaient une bite bien tendue. Je quittais du regard les photos, mon hôte avait sorti son sexe et se masturbait.

« Tu l'as reconnait » me dit-il en riant

Sur les photos suivantes, les scènes étaient les mêmes, mais il y avait une différence majeure, c'était de jeunes mecs comme moi qui suçaient le chauffeur. Cela ne me répugnait pas, au contraire, je trouvais ces photos homosexuelles excitantes. Je découvrais ce que déjà, j'avais eu envie de faire sans jamais passer à l'acte.

Mon chauffeur caressa la bosse bien visible qui déformait mon d'jean.

« Vas y Alain, fais comme eu, n'ai pas peur mon garçon, suce moi »

Je me penchais pour la première fois sur le sexe d'un homme. Ma main tremblante se saisit du mandrin, un va et vient hésitant ; puis plus naturel. Mon autre main lui caressa les couilles, enfin je me penchai et pris dans ma bouche le gland décalotté, puis un peu plus, puis un peu plus jusqu'au moment ou l'intégralité de son sexe prit possession de ma bouche. Pendant que je le suçais, il ouvrait mon pantalon pour libérer mon sexe de la camisole qui l'opprimait, mon pantalon et mon slip. Au bout de dix minutes, j'étais bien chaud, dans mon affaire, aspirant au mieux, comme jamais je n'avais pensé savoir le faire dans mes plus beaux fantasmes. L'action était limpide, facile, presque naturelle.

« Retire tout tes vêtements gamin, et viens t'asseoir sur mon pieu. »

Je m'exécutai. Le tee short, le pantalon, le slip et les chaussettes se retrouvèrent au sol de la cabine. J'enfourchai le torse de mon chauffeur. Il en avait profité pour passer un préservatif sur son sexe, et le badigeonnait de gel intime.

« Présente moi ton cul môme ! »

Je le tournai vers lui, tendu et cambré. J'ouvris les fesses. Il m'astiqua la rondelle avec la pommade puis enfila deux doigts pour préparer mon anus.

« Allez ! Enfourche ta monture gamin ! Défonce-toi ! »

Au début, ça a chauffé, puis ensuite, l'ensemble du sexe à prit possession de mon intérieur chaud. C'était à la fois déchirant et agréable, douloureux et doux, avec la sensation d'être trop profond et de vouloir pourtant aller plus loin.

Une fois qu'on a été bien emboité, on a pivoté, je me suis retrouvé dessous et lui dessus. Il a mis mes jambes sur ses épaules et a accéléré la cadence. Le va et vient enflammait mon anneau. Je me branlais en même temps avec une de mes mains. Il a senti mon orgasme arriver avec les contractions de mon anus. Il m'a laissé jouir. Il est sorti de mon cul. J'avais l'impression que mon anus n'était plus qu'un grand trou.

Il a ôté la capote et a approché son sexe de ma bouche, frappant mon visage avec sa verge dure. J'ouvrai la bouche pendant qu'il jouissait, étalant sur mon visage et ma langue les giclées blanchâtres de son plaisir.  Il y eu deux flashs. J'entrai dans sa collection.

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Nous terminâmes la route avec beaucoup de plaisir et l'on ne se revit jamais.

Mes parents me trouvèrent radieux lorsque j'arrivai au camping. Il y avait la douche dans le mobil-home, mais je préférai la prendre dans les douches du camping, au contact d'autres hommes.

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Bises à vous

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Alain

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