• Bonjour,

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    Je vous souhaite des tas de bonnes choses pour 2009 !

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    Des chattes rasées, au clitoris frétillant, dégoulinantes de plaisir.

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    Des queues tendues, fermes et dures, au gland violet, aux veines palpitantes

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    Des bourses pleines de jus d'amour, rasées de près, la peau lisse

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    Des giclées chaudes, laiteuses, se déversant dans votre bouche,

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    Des trous du cul ouverts, vibrant sous la langue, béant à la queue

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    De bonnes relations sensuelles et sexuelles aux lesbiennes,

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    Des profondes sodomies pour les gays

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    Et pour les bi, hétéros gay et lesbiennes, du sexe chaque jour de l'année, des orgasmes, de la jouissance.

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    Jouissez de ce que vous aimez. Il n'y a pas de mal a ce faire du bien.

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    Une pensée à ceux qui sont seuls (seules) : Bonne branlette !

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    Bises a toutes et tous

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    Alain

     

     

     

     


     


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  • Je suis rentré doucement. Tu ne m'as pas entendue.

    Je suis monté. Tu venais de sortir de la douche.étalée sur ton lit, le peignoire ouvert en grand.

    Tu caressais tes seins de ta main gauche, et tournais frénétiquement tes doigts autours de ton clitoris.

    Tu étais merveilleusement belle. Léchant tes doigts pour gouter ton sexe et ton plaisir.

    Je revois la scène impromptue et j'y repense constement

     J'y repense et je me branle, j'y repense et je jouis.

    Dire que tu es ma fille et que tu ne seras jamais que je t'ai vu

     

    Alain


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  • Un copain, c'est celui qui partage le pain...

    Une copine, c'est celles qui partagent la pine non ?

     

    La preuve en image...

     

     

    Les gourmandes !

    Alain


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  • Concentrée sur sa photo, elle est elle même devenue le modele...

     

     Belle culotte blanche...

    Alain


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  • Tu as choisi un hôtel sympa au dessus de Pontoise.

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    J'avais de l'appréhension en arrivant. Tu étais sur le parking, m'attendant. Un regard complice, un sourire qui en disait long sur notre attente et je t'ai suivi dans ta chambre.

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    Il faisait bon, tu avais déjà fermé les doubles rideaux. La lumière était douce, appelant la sensualité. Tu m'as offert un verre. Je me suis déshabillé en même temps que je buvais, tu en a fait de même. Tu m'as pris par la main, m'as lâché près du lit, puis d'une pichenette, tu m'as fais tomber nu sur le lit.

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    Je regardais ton corps avec intérêt et envie. Premier corps d'homme de ma vie.

    Depuis notre rencontre virtuelle sur le Net, j'avais maintes fois pensé notre rencontre, et aujourd'hui, j'osai passer à l'acte, franchir le cap qui fait qu'un homme peut avoir envie du corps d'un autre homme.

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    Tu me sais gauche, timide, inexpérimenté, mais gorgé d'une envie totale d'être à toi.

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    Ma tête est au bord du lit, presque dans le vide, légèrement en arrière. Je te vois arriver, tes cuisses entourent ma tête. Tu te penches, ton sexe encore mou pend à peine dix centimètres au dessus de ma bouche. J'ai faim de toi. Je me redresse, ma langue sort de ma bouche et vient titiller la peau qui recouvre ton gland. Je ne peux que penser à l'instant présent, tu es le premier sexe d'homme que ma bouche touche, lèche, puis finalement explore entièrement. Ma main arrive à l'aide. Je tire sur la peau, la remontant le long du corps veiné, découvrant enfin ce gros appendice rouge. Ma langue contourne l'ourlet de ton gland. L'odeur est épicée. J'adore ce parfum, ce gout qui excite jusqu'à mes papilles. Tu n'es pas circoncis, je lèche ton filet et remonte le long de ta queue qui déjà commence à gonfler.

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    Je te suce maintenant en prenant entièrement ton sexe dans ma bouche. Tu te couche à mes coté, tête bèche. Je sens ta bouche, mille fois plus experte que la mienne, me prendre goulument, avec une avidité qui me dit que tu as faim. J'explore chaque parcelle que tu m'offre, Après ton gland, le corps de ton sexe, puis les couilles.

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    Ton érection est belle. Tu pivotes pour venir en face de moi. Ton visage entre mes fesses. Avec de grandes léchouilles, tu caresses mon corps. Mes couilles, rasées au plus près t'inspirent, chaque millimètre de peau passe sous ta langue experte. Puis chaque veine de mon sexe se gonfle, enfin, tu aspire mon gland dans une succion fantastique.

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    Je suis un autre homme. Ma femme ne me reconnaitrait pas. Je ne suis plus le mâle dominant, je suis devenu la créature qui attend le mâle, qui se fait dominer, qui répond à la sollicitation d'un sexe viril et dur en s'ouvrant au mieux. Ta langue redescend sur mes couilles, puis sous mes couilles, explorant le périnée. Tu écartes avec tes deux pouces mes fesses rebondit et dépose ta langue mouillée de bave sur mon anus inviolé, vierge mais attentiste. Tu me fouilles. Chaque plis de mon anus est léché, mouillé de ta salive, caressé par ta langue fouilleuse. Je relève inconsciemment mes jambes et mes cuisses sur mes pectoraux. Tes mains m'écartent toujours plus.  Ta langue, après avoir caressée longuement l'anneau brun se fait dure et s'insinue dans le minuscule trou qu'est mon anus. Je râle de bonheur. Je sens ta langue me fouiller. Toujours plus profond. J'écarte moi-même mes fesses afin que tu ailles encore plus profond. Je pense à toi, goutant au parfum acre de mon anus, respirant les écumes épicées de mon trou du cul. Ces parfums t'enivrent. Tu bandes fort.

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    Je sens tes doigts approcher l'entrée du trou. L'index et le majeur se bousculent délicatement au bord, exercent une douce pression. Tu fais couler une grosse quantité de bave sur mes couilles qui descend  vers l'anus. Tes deux doigts la récupèrent. S'enduisent et commencent leur travail sur ma rondelle.

    Je grogne comme un fou. Les soupirs on fait place aux grognements, puis au premiers « ouiiiii », « c'est bon », « continu », « encore », plus profond chéri »...

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    Soudainement tu te redresses. Je te vois développer un préservatif sur ton sexe.  Tu l'enduit d'une crème. Enfin, tu colles ton gland au contact de mon anus. La pression est douce mais progressive. J'ai confiance en toi. Tu me dis doucement « vas-y, pousse ». Mes muscles abdominaux obéissent, comme pour aller aux toilettes. Cela a pour effet d'ouvrir mon sphincter. Ton gland en profite pour entrer. Puis tu t'enfonces doucement en moi. Je te sens entrer et je suis comblé. La douce chaleur de ton sexe pénètre en moi. Le mouvement est alternatif, mais chaque fois, il va plus profond en moi.

     

     

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    Dans ma tête, je suis plus Alain, je suis ta femelle et ton mec à la fois. «Vas-y, baise moi bien... A fond mon cœur... »,  « Défonce moi le cul, c'est bon , j'adore ta bite » ... Chaque mot retenu tant d'année dans la bouche du mâle que je suis d'ordinaire devient une obscénité dans la bouche de Pédé qui maintenant s'assume. Je suis un mec, je me fais baiser et j'aime ça...J'adore ça...je m'en lasse pas. Mon anus se resserre autour de ton sexe à chacune de mes éjaculations. Je n'y tiens plus, je jouis sur mon ventre et j'étale ma semence sur mon torse.

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    Tu grimpes accroupi sur le lit, m'attrape la tête par les cheveux, relève ma tête vers ton sexe. Tu viens de retirer la capote. J'ai juste le temps d'ouvrir la bouche pour accueillir ta première giclée chaude de sperme. Les autres s'étalent sur mes lèvres, mes joues et mes yeux.

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    Je passe le restant du temps à te caresser le corps, à te sucer, à te dire que j'ai envie de te revoir et de me faire encore baiser par toi de nombreuses fois.

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    Tu as changé ma vie, je suis devenu un autre homme. Je suis un homme qui aime les hommes. Qui aime se faire sodomiser. Un passif qui a besoin d'un actif. Je suis ton mec, mon cul est à toi et je veux que tu me baises le plus souvent possible. J'ai déjà envie que tu me prenne en levrette, ou que je m'empale sur ton pieu.

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    Je repars de l'hôtel à minuit. Mon anus est encore tout échauffé par le va et vient de ton sexe. Ce soir, j'ai jouis comme jamais. La jouissance physique de l'acte sexuel, et la jouissance mentale de l'accomplissement d'un désir caché durant des décennies.

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    Mon amant, j'espère te revoir vite, j'aime ta bite, j'aime ton sperme, j'aime ton corps, je t'aime.

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    Alain


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