C'est sur qu'il va la sentir passer...

 

 

Mais que ça doit être bon ! je l'envie...

Alain

 

N'est-il pas douceur plus parfaite ?

Léchage de précision et sodomie profonde...

Un couple ou la femme sait faire plaisir à son mec...

 

Que la semence chaude coule !

 

Alain

 C'est y pas adorable....

 

 

Ouvert a tous fantasmes

Bises a vous

 

Alain

Etre avec une femme de 38 ans, ça n'a rien d'extraordinaire.

Etre avec une femme de 38 ans avec une fille de 18 ans, c'est déjà plus rare.

Baiser une femme de 38 ans et sa fille de 18, c'est le pied.

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Ca faisait plusieurs mois que nous étions ensemble Corinne et moi. Elle avait divorcé un an plus tôt et j'étais son premier amant de femme libre. Elle avait une fille de 18 ans, brune comme elle, les yeux bleus comme elle, portrait fidèle de sa mère avec 20 années de moins.

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Déjà, l'idée que sa fille nous entende lors de nos scènes amoureuses, que les soupirs, les râles et les cris l'empêche de dormir m'excitait au plus haut point. Karine avait fait quelques sous entendus qui m'avaient mis la puce à l'oreille. Nous étions en septembre. Les vacances venaient de finir, j'avais largement profité durant ce mois d'aout de la vision de son corps en minuscule maillot de bain. Son corps était splendide, son visage encore enfantin, timide, mais le brillant des yeux humides cachaient une envie que je ne pouvais que voir.

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Un samedi que sa Corinne était auprès de ses parents, dont le père était hospitalisé, je suis rentré trop brutalement dans sa chambre. Pas frappé. Par prévenu. Elle était à moitié déshabillée sur son lit, jupe relevée sans culotte et chemisier grand ouvert sur sa poitrine, les pointes tendues vers le plafond de la porte. Cri de surprise et panique pour elle, surprise et confusion chez moi.

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Elle avait honte et ça se voyait.

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Je lui ai expliqué que je ne dirais rien à personne, que s'était pas grave, qu'on le faisait tous etc... Rien ne la rassurait. Elle s'est mise à pleurer.

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Je l'ai calmé comme j'ai pu. Elle s'est blotti dans mon épaule pour ne plus que je vois son visage. Ne voyant plus son visage, ce n'était plus ma belle fille que je blottissais mais une femme, et une jolie femme même. Alors ma main à courut sur son dos, puis sa cuisse gauche, est remontée le long de la cuisse  vers les seins, sans oublier de remonter la jupe qui cachait sa nudité. Elle a ressortit sa tête de mon épaule, ma regardé les yeux rougit et la voix tremblante : « Embrasse-moi » me dit-elle.

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J'exécutai la demande avec zèle. Je n'en pouvais plus. Ma main repris le travail ou la sienne l'avait arrêté. Son sexe était joliment buissonnant, détrempé, liquide. Elle se crispa très vite sous les caresses. La jouissance vient vite à cet âge. Je voulais plus que ça pour elle, je voulais l'entendre crier de plaisir, je voulais lui donner un orgasme total.

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J'ai fini de la dévêtir, je l'ai léché de partout, n'oubliant rien de son intimité, aspirant le fruit jusqu'à la dernière goute de son jus.  Ensuite, elle m'a demandé de lui faire l'amour entièrement. J'ai mis mon préservatif, j'ai positionné mon sexe à l'entré du sien, le frottant et l'humectant de son plaisir avant de l'introduire doucement.

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Ma belle fille me confiait sa fleur la plus intime. Son vagin était prêt à me recevoir, son désir passait avant tout, le fantasme maintes fois ressassé le soir dans sa chambre en entendant sa mère devenait réalité.

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L'orgasme fut violent.

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Nous continuâmes encore un peu puis elle me dit «  à moi maintenant. J'aimerai essayer de te sucer »

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Elle fit sur moi sa première pipe, délicieuse. Mal aisée, timide, retirant en urgence le sexe dès que la première giclé se présenta. J'arrosais copieusement son visage.

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Durant les trois ans que je restai avec sa mère, je fis l'amour toutes les semaines avec elle. Ensuite elle trouva son futur mari et j'ai quitté sa mère.

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Cette période fut une des plus riches expérience de ma vie.

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Bises

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Alain

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vu sous cet angle là, le bowlig, c'est sympa, même sans strike !

 

 

Alain